Chapitre 1 : 1898-1922La fille de l’étranger Chapitre 2 : 1923-1939Epouse et mère Chapitre 3 : 1940-1941Deuxième guerre mondiale et persécutions Chapitre 4 : 1942-1943Le courage d’une mère Chapitre 5 : 1943-1945Déportée ! Chapitre 6 : 1945-1979Le retour à la vie

Chapitre 1 : 1897 / 1914Talonné par la pauvreté Chapitre 2 : 1914 / 1922La Grande Guerre, l’exil.et Emma ! Chapitre 3 : 1923 / 1930Adolphe et Emma tissent leur nid Chapitre 4 : 1932 / 1938Deux décisions cruciales Chapitre 5 : 1938 / 1941La foi sous le feu de

La famille Danner vivait au 3, rue des Seigneurs à Basse Yutz, en Moselle (France). Le père, Jacques Danner, surnommé « Jacob », né le 22 mars 1898 à Rohrbach, travaillait comme ouvrier aux hauts-fourneaux. Il avait épousé Augustine Rosine Hantz, née le 25 février 1899. Le 19 janvier 1922, la famille

Comment avez-vous réagi personnellement envers les SS? Etaient-ils tous violents ? Comment des personnes pouvaient-elles se comporter ainsi? Quelle leçon peut-on en tirer ? Le SS qui m’a sauvé la vie à Auschwitz m’a confié un jour: “Je me sens comme dans un train fou qui dévale une pente. Si

Faire-parts, annonces et réactions Faire-part : Simone son épouse , Alfred son cousin et toute la famille,la congrégation locale des Témoins de Jéhovah ainsi quela Fondation Arnold-Liebster ont la profonde douleur de vous annoncer que MAX LIEBSTER a été réuni à ses ancêtres le mercredi 28 mai 2008 Tout au

« Heim ins Reich », tel était le mot d’ordre en Alsace en 1940. Cela signifiait que toutes les lois nationales-socialistes étaient également appliquées à l’Alsace. Un an plus tard, en septembre 1941 – j’avais alors 11 ans – on a sonné à la porte. Maman et moi attendions papa

Max Liebster naquit le 15 février 1915 au sein d’une famille juive, dans un petit village de la région d’Odenwald, en Allemagne. En raison des conditions économiques très dures, Bernhardt, le père, un modeste cordonnier, avait du mal à subvenir aux besoins de Babette, sa femme, et de leurs trois

Durant l’hiver 1944-45, les troupes alliées traversèrent le Rhin. Les Nazis ordonnèrent que les détenus les plus « dangereux » seraient transférés vers les camps plus reculés d’Allemagne. Emma devait être envoyée à Ravensbrück. Mais comme il n’y avait aucune ligne de chemin de fer directe depuis Gaggenau, les gardiens SS ordonnèrent

Le 24 août 1943, quelque cinq semaines après le départ de Simone, un garde-champêtre emprunta le sentier qui grimpait à Bergenbach. Emma le vit alors qu’il était encore loin, en contrebas. Elle se doutait qu’il venait pour elle. Pour éviter un choc à sa mère, elle alla à sa rencontre