Foto von Rudolf Graichen als Junge
Foto von Rudolf Graichen als Junge

Des rescapés répondent aux questions d’élèves: Rudolph Graichen (Question 1)

Qu’avez-vous ressenti quand vous êtes allédeux fois en prison ? J’étais un simple petit Allemand, je ne suis pas d’origine juive mais mes parents avaient de fortes convictions religieuses et étaient devenus Témoins de Jéhovah en 1925, avant ma naissance. C’était comme une épine dans l’œil des Nazis qui voulaient

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Des rescapés répondent aux questions d’élèves: Rudolph Graichen

En 2007, des élèves de 3ème de la Columbia Explorers Academy (Chicago, Illinois) ont posé deux questions à Rudolph Graichen sur son expérience durant l’époque nazie. Question 1 :Qu’avez-vous ressenti quand vous êtes allé deux fois en prison ? Question 2 :Comment avez-vous survécu à l’Holocauste ? Rescapé d’une prison nazie Le

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Des rescapés répondent aux questions d’élèves: Max Liebster (Question 3)

Les conditions ont-elles changé avec le temps ? Les conditions de vie n’ont fait qu’empirer avec la progression de la guerre. L’afflux de prisonniers venus de toute l’Europe a engorgé les camps. Les détenus qui n’étaient pas juifs et qui parlaient allemand, et qui étaient au camp depuis longtemps, étaient

Foto des jungen Max Liebster
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Des rescapés répondent aux questions d’élèves: Max Liebster (Question 2 )

Est-ce que le traitement variait selon les catégories de prisonniers ? Mon premier camp était Sachsenhausen. J’y suis arrivé en janvier 1940. La plupart des détenus étaient allemands. Ils devaient travailler dur, recevaient des suppléments de nourriture et dormaient  sur des couchettes superposées. Les individus qualifiés de « dangereux » étaient isolés dans

Foto des jungen Max Liebster
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Des rescapés répondent aux questions d’élèves: Max Liebster (Question 1)

In jedem Lager erlebte ich dieselbe grundsätzliche Verfahrensweise, die darauf zielte, uns die Menschlichkeit zu nehmen. Uns wurden unsere Namen genommen und wir erhielten Nummern. Man nahm uns unsere Kleidung weg und zwang uns, gestreifte Uniformen zu tragen, die für jede Gefangenengruppe ein andersfarbiges Symbol hatten. Alle Haare wurden abrasiert.

Foto von Max Liebster
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Des rescapés répondent aux questions d’élèves: Max Liebster

Quand Hitler est arrivé au pouvoir, en 1933, j’étais un jeune Juif allemand de 18 ans. J’ai été témoin de la terrifiante montée du nazisme et de la progression croissante de l’antisémitisme. L’arrestation des opposants et l’ouverture de camps de concentration pour les dissidents allemands (entre autres, les Témoins de

Simone Arnold Liebster auf einer Konferenz
Simone Arnold Liebster auf einer Konferenz

Des rescapés répondent aux questions d’élèves: Simone Arnold Liebster

J’ai souvent eu le privilège de m’entretenir avec des jeunes. Partout, aux Etats-Unis, au Canada, en France, en Suisse et en Allemagne, j’ai ressenti combien les jeunes gens étaient désireux de comprendre ce qui s’est produit lorsqu’un pays civilisé comme l’Allemagne est devenu un état nazi. J’ai trouvé chez eux

Simone Arnold Liebster auf einer Konferenz
Simone Arnold Liebster auf einer Konferenz

Des rescapés répondent aux questions d’élèves: Simone Arnold Liebster (Question 2)

Pourquoi personne n’a alerté le mondesur ce qui se passait ? Les Témoins de Jéhovah ont tenté à maintes reprises d’alerter le monde sur les horreurs qui avaient cours en Allemagne nazie. Ainsi, en 1938, ils ont fait publier un livre intitulé Croisade contre le Christianisme qui donnait des noms, des endroits et

Ein Photo von Simone, aufgenommen im Juni 1943 als eine Erinnerung für Emma. Zu diesem Zeitpunkt muß Emma den Tag von SImones Abfahrt in die Erziehungsanstalt bereits gekannt haben.
Ein Photo von Simone, aufgenommen im Juni 1943 als eine Erinnerung für Emma. Zu diesem Zeitpunkt muß Emma den Tag von SImones Abfahrt in die Erziehungsanstalt bereits gekannt haben.

Des rescapés répondent aux questions d’élèves: Simone Arnold Liebster (Question 1)

Des rescapés répondent aux questions d’élèves :Simone Arnold Liebster Pourquoi n’avez-vous pas signé la « Déclaration » pour pouvoir rentrer chez vous et retrouver votre famille, quitte à pratiquer ensuite votre culte en secret ? Une signature en échange de la liberté semble être un choix évident. Mais pour les